Raito était particulièrement fatigué d’avoir passer une nuit blanche devant la pension Kishimoto. Le simple fait d’avoir touché le mur des « monstres » le dégoûtait. Il se lava les mains, deux, trois fois puis alla se coucher.
Après quelques heures de sommeil, il se réveilla en pleine forme. La tomber de la nuit approchait, mais il ne se doutait pas que la nuit qu’il allait passer le dégoûterait encore plus de ces personnes, s’il pouvait appeler ça comme ça !
Il regarda par la fenêtre : " Quelle infâme vue ! Rien qu’en voyant leur pension, j’en ai des nausées ! "